' © 2008-2010
 
 

Unification des forces 
électromagnétique, de gravitation et forte

Unification des forces électromagétique, de gravitation et forte Survol Articles sur les particules Articles sur la macro gravitation Références Info Format PDF

 

 

 
    Table des Matières      Résumé / Abstract      Introduction 1. Les particules élémentaires 2. Les lois de Kepler appliquées aux particules 3. Découverte de la loi du positionnement des planètes 4. Nature électromagnétique de la gravitation 5. Unification de la force forte avec la gravitation
   

 

 

 

   Chapitre Précédent  

Précédent

  -

 

 Suivant 

 

Chapitre Suivant

 
 
Réf: (54) (29) (11) (4) (1) 

 

Johannes Kepler publie son premier ouvrage, Mysterium Cosmographicum.

Puis il publie Astronomia Nova, dans lequel il énonce ses trois lois.

 

La première des trois lois de Kepler nous dit que les planètes tournent autour du Soleil en suivant des trajectoires elliptiques.

 

En fait, le Soleil n'est pas placé à l'un des foyers, mais au centre de gravité. Pratiquement, Ce centre de gravité est proche du centre du Soleil.

 

Un grand succès de la mécanique d'Isaac Newton, a été d'établir trois lois de base de la mécanique, ainsi que la loi de la gravitation universelle, puis de démontrer les trois lois de Kepler à partir de ses lois de bases.

 

Nous allons examiner la troisième loi de Kepler selon sa constante  a3 /T2, et nous allons l’appliquer au modèle théorique des particules élémentaires en sphère électromagnétique, développé précédemment.

 

Variantes déduites depuis les lois de Kepler et de Newton

Kepler et Newton ont développé leurs lois gravitationnelles depuis un minimum de deux masses distantes en interactions entre elles.

 

Chacune des deux masses ont la même action sur leur environnement. 

 

Tout d’abord les deux masses orbitent autour du centre de gravité commun.

 

Pour une seule masse, les sous ensembles de la masse subissent une force qui tend à les faire orbiter aussi autour du barycentre qui est le centre de masse, ce qui produit la rotation axiale de l’objet.  Nous pouvons dire, pour une masse comme Jupiter ou Uranus (sphérique uniforme gazeuse), que la couche externe composant la planète, orbite en cercle.

 

Dans la conception de Johannes Kepler, reprise par René Descartes et ses contemporains, les planètes sont entrainées par des tourbillons. Ce modèle rejeté par Newton, C’est ce concept d’entrainement des planètes que je réactualise et développe.

 

Dans le chapitre origine électromagnétique des particules, je montre que la particule élémentaire est une onde électromagnétique en boucle. Cette rotation électromagnétique de la particule entraine autour d’elle très lentement les particules virtuelles environnantes en un tourbillon secondaire.

 

La troisième loi de Johannes Kepler est appliquée uniquement aux astres. Isaac Newton en introduisant les forces F=a m, et en l’assemblant avec la troisième loi de Kepler, déduisit la loi d’attraction gravitationnelle universelle pour tous les corps massifs.

 

Ce qui implique une autre généralisation. La troisième loi de Kepler, par la constante dans chaque système K= a3 /T2, doit aussi s’appliquer à tous les corps massifs.  L’interaction de la troisième loi de Kepler se généralise aussi sur les particules élémentaires massives.

 

Une particule, par son champ magnétique, induit un vortex secondaire autour de lui. 

 

L’onde électromagnétique en boucle à la vitesse de la lumière d’une particule entraîne les particules virtuelles de la mer virtuelle du vide, en vortex qui suit la 3ème loi de Kepler-Newton  V2 R = G M, avec la masse centrale M, la vitesse d’entrainement V du flux gravitationnel, la distance au centre de gravité R, la constante de gravitation G.

 

La relation G M = V2 R provient d’un vortex issu de la fusion de tous les vortex secondaires produits par chacune des particules élémentaires du corps. La direction du flux tourbillonnaire, résultant des particules, s’uniformise. Toutes les particules composant la masse du corps sont entrainées par la force de trainée du vortex unifié, le tout en accord avec la troisième loi de Kepler.

 

V2 R est une constante de conservation d’énergie et de moment angulaire pour un système planétaire, selon Kepler, mais aussi pour tous les corps selon Newton. Toutes les couches de tourbillons secondaires de flux du vide d’une unique masse ont la même constante V2 R.

V2 R constante d’un ensemble de plusieurs masses :

(V2 R) total = G M1 + G M2+…+ G Mn = (V2 R)1 +  (V2 R)2 +…+ (V2 R)n

µ = G M = V2 R.

Cette constante pour une seule masse est équivalente à la formule de Newton utilisant la troisième loi de Kepler, définie pour une planète autour d’une masse centrale :

µ =G M = 4 p2 a3 /T2.

Dans le cas de l’orbite circulaire, le demi grand axe «a» est le rayon R, ce qui nous donne V2 R = 4 p2 a3 /T2.

Kepler a déduit expérimentalement ses lois depuis un très grand nombre de mesures sur les positions des planètes et sur la période de leurs ellipses. Il pensait que les orbites étaient circulaires. Il découvrit, à la suite de ses calculs, sa première loi, les orbites planétaires sont elliptiques. Puis la deuxième loi, les aires sur l’ellipse parcourues par la planète, dans un même laps de temps, ont une surface identique. Enfin la troisième loi, le rapport du carré de la période de rotation au cube du demi grand axe, est constant pour toutes les planètes du système solaire.

 

Traduit du latin du livre de Kepler Harmonices mundi libri V année 1619 :

 « Proportio quae est inter binorum quorumcumque planetarum tempora periodica est praecise sesquialtera proportionis mediarum distantiarum; id est orbium coelestium.»

 « La proportion qu’il y a du carré du temps de la période de la rotation d’une planète est précisément proportionnelle au cube de la distance moyenne ; c’est aussi identique pour les orbites célestes.

T2 / a3 = constante pour les planètes d’une masse centrale.

Dans le cas particulier du cercle, pour simplifier le calcul (La Terre, Venus et Mars ont une très faible excentricité autour du Soleil),

La période T est égale à la distance parcourue, soit la circonférence de l’orbite, divisée par la vitesse de l’objet.

 «a» est le demi grand axe, soit le rayon R de l’orbite pour le cercle.

T = Circonférence / Vitesse = 2 p R / V

T2 = 4 p2 R2 / V2

T2 / a3 =   (4 p2 R2 / V2) / R3 = 4 p2 /( V2 R) = constante

V2 R =   4 p2 a3 / T2 = constante

Comme 4 p2 est constant donc V2 R est constant.

µ = G M = 4 p2 a3 /T2 = V2

V2 R est constant pour une masse centrale.

 

J’emploie V2 R pour le vortex d’une seule masse, comme variante de la troisième loi de Kepler, ce qui me permet de simplifier les calculs pour mieux visualiser et interpréter les actions des masses centrales.

 

D’autre part, c’est la masse centrale qui produit la plus grande énergie d’entrainement, permettant aux diverses planètes de graviter sur des ellipses d’excentricités variables.

 

La constante V2 R est liée à la masse.  Comme V2 R est constant et proportionnel à la masse, Newton a trouvé la valeur de la masse centrale à l’aide de sa formule G M = 4 p2 a3 /T2, en partant de la troisième loi de Kepler.

 

Sur Terre G M = g * R2 = (V2/R) * R2 = V2 R. Il ne suffisait alors que de trouver la valeur de sa constante G.

 

La Lune est entrainée par la rotation du vortex secondaire des particules virtuelles du vide selon V2 R produit par la Terre.

 

Lorsqu’il y a deux masses en présence, leur flux en vortex se fusionnent en un nouveau flux résultant, ayant pour constante la somme des constantes; V2 R = K1 + K2 = (V2 R)corps1 + (V2 R)corps2. Si les masses ne sont pas liées, les vortex circulaires de chaque masse s’unissent et entrainent les masses dans le flux tourbillonnaire résultant. La troisième loi de Kepler peut alors s’appliquer. Si les deux masses sont liées, la résultante V2 R est une constante qui prend effet à partir de la surface de l’ensemble, et se conserve en tant que nouveau vortex.

 

Pour résumer, une masse compacte sphérique uniforme et homogène, produit une rotation du flux circulaire. Pour deux corps, les rotations du flux produites par chacune des deux masses s’unissent par fusion en un nouveau tourbillon.

 


 

Comparaison avec les modèles de Kepler et de Newton

Les résultats des ces recherches m’ont conduit à choisir le modèle d‘entraînement des planètes comme celui de Kepler, Descartes et Fontenelle, ils avaient déjà adopté pour les astres. Je complète le modèle avec en plus une force d’attraction occasionnée par la dépression provenant de la différence de vitesses V provenant de la constante V2 R = G M, variante de Kepler-Newton.

 

Le système de tourbillon planétaire a été rejeté par Newton, le remplacant par une attraction gravitationnelle, de force radiale à distance.

 

Newton, dans sa démarche de résolution de la gravitation universelle, énonce que l'attraction radiale et la force centrifuge se compensent afin de conserver l'orbite.

 

Le modèle de Newton d’attraction radiale possède une force agissant à distance, alors que le modèle Kepler et de Descartes décrit que les énergies issues des objets, tourbillonnent et entrainent les planètes.

 

Les masses centrales déplacent en tourbillon les particules virtuelles du vide tournant de moins en moins vite lorsque le rayon croît, suivant la variante de la 3e loi de Kepler qui donne V2 R constant pour une masse centrale quelconque. Le flux harmonise l'orbe de la planète en l’entrainant. Nous verrons comment elle peut être entrainée lors des chapitres suivants.

 

En confrontant les deux principes, et après plusieurs tentatives, je modifie les deux modèles de gravitation de Kepler et de Newton tels qu’ils sont, pour proposer un modèle qui les réunit, en remplaçant la force d’attraction à distance de Newton par une force de dépression instantanée.

 

 

 

 


La vitesse du satellite dépend de la vitesse du tourbillon du flux, et de la distance au corps central. C’est cette vitesse de rotation du flux qui décroît avec la distance et oblige une planète à voyager plus lentement lorsqu’elle s’éloigne du Soleil, adoptant la même vitesse que celle du vortex qui l’entraine. Le satellite ou la planète devient co-mobile dans le fluide tourbillonnaire.

 

Le flux gravitationnel est un fluide de particules virtuelles ou réelles en mouvement. La masse en orbite suit le courant de ce fluide. Elle s’éloigne ou se rapproche du centre de gravité par la vitesse du flux. Il y a conservation du moment angulaire du flux en rotation et de la masse co-mobile en orbite. Dans ce nouveau modèle, la force d’attraction axiale à distance de Newton (qui n’a put être établie scientifiquement), est remplacée, par une force de dépression radiale. La force centrifuge joue le même rôle que dans la loi de Newton. Ce nouveau modèle de gravitation comporte une force fondamentale qui est la force électromagnétique est des forces émergeantes qui sont : la force de dépression, la force de trainée, et la force centrifuge.

 

Pour pouvoir créer une si magnifique mécanique céleste, les deux modèles de gravitation de Kepler et de Newton sont incomplets. Kepler ne tient pas compte de la force d’attraction  et le Modèle Newtonien n’a pas de force de trainée ni de force de dépression.

 

Isaac Newton dans les « principia » montre bien que la force est proportionnelle au carré de la distance séparant les corps, cette force origine bien du centre des corps et non pas du centre de gravité ou barycentre de l’orbite. Les principia   PROPOSITION III. THEOREM III. ‘That the force by which the moon is retained in its orbit tends to the earth; and is reciprocally as the square of the distance of its place from the earth's centre’.

 

Que la force par laquelle la lune est maintenue sur son orbite est en direction de la terre ; et est inversement proportionnelle au carré de la distance entre le centre de la terre et la Lune.

 

 

Direction des forces :

direction_des_forces

 

Newton annonce que la force centrifuge (force hypothétique de même magnitude) annule en orbite la force d’attraction.

 

Aucune force d’entrainement n’apparaît dans la formulation de Newton.

 

Dans la force centrifuge d’un système orbital stabilisé, le rayon R est un rayon de courbure qui a pour centre le barycentre, et non pas le corps central, R est différent du rayon (qui est la distance entre les deux corps).

 

Le mécanisme des tourbillons

René Descartes énonce que le mouvement des planètes est dû à de grands tourbillons remplissant l'espace,  qui les emportent et les maintiennent sur leurs trajectoires.

 

Il rejette une action à distance du Soleil. Il influença néanmoins les scientifiques français de la fin du dix-septième au début du dix-huitième siècle.

On attribue à Descartes la formulation du principe d'inertie.

Isaac Newton utilisa les lois de Johannes Kepler et de René Descartes et les intégra dans les Principia. Changeant l’action d’entrainement des planètes pour une action radiale.

 

Fontenelle avait bien défendu les tourbillons éthérés. À la page 193 (1) sa première phrase est : «Je suppose le plein absolu. » (Pour dire l’éther dans l’espace). Son éther tourbillonne autour de tous les corps célestes de matière, ce qui correspond aujourd’hui en 2008 au modèle des particules virtuelles du vide en rotation autour des masses (La mer étrange). Puis en page 206 (29) les vitesses des planètes et des satellites ont une constante V2 R qu’il décrit avec les mots de sont époques : (11)

 

« Donc on a r x u2; mais nous ne connoisons point encore ici les vitesses u. J’appelle v la vitesse de la couche qui a R pour rayon, et u celle de l’autre qui a r. Les deux forces différentes formées seront R v2 et r u2. Or je vois que si l’on suppose R v2 = r u2, on aura R. r : : v2. u2. Donc il y aura équilibre entre ces deux forces quelconques (….) ».

 

Il avait déjà insisté que l’entraînement, par les tourbillons de l’éther de Descartes, était plus conforme à la réalité que la dynamique céleste de l’attraction d’Isaac Newton. Il y a déjà en 2008, 255 ans que Fontenelle et 357 ans que René Descartes proposèrent les tourbillons éthérés comme dynamique céleste. L’échec de la gravitation de Newton et de la relativité d’Einstein nous force à revoir l’ensemble de la physique et à repartir sur des assises solides. L’éther est réactualisé par une autre dénomination « la mer de particules virtuelles du vide, aussi appelé le champ quantique, ou champ gravitationnel » qui est le plein absolu de Fontenelle et de Descartes. Il ne reste plus qu’à le faire tourbillonner. Nos prédécesseurs avaient raison. La lumière a un support pour se propager, parce que le vide absolu n’existe pas (ils le nommaient « matière céleste ou matière éthérée »). Einstein a d’ailleurs réintroduit l’éther. En résumé, la constante V2 R est une variante de la 3ème loi de Kepler. C’est la formule qui permet de trouver la valeur de la masse centrale d’un système planétaire ou satellitaire selon G_M_=_V2 R. La constante permet de déduire, avec la force centrifuge F = m V2/R, la formule de la gravitation de Newton F = G M m / R2. Les corps font tourbillonner la mer de particules virtuelles, flux d’énergies du vide.

 

Les travaux récents de Jean Claude Villame(54)et de Maurice Allais(4) nous montrent qu'un

éther tourbillonnaire existe, en se basant sur les résultats interférométriques de

l'expérimentation d'Albert Michelson, Edward Morley et de Dayton Miller ainsi que sur la

troisième loi de Kepler.

 

Le flux du vide et particule

Le flux du Soleil qui fait tourner les planètes est un vortex du Soleil qui se déplace avec lui autour de notre Galaxie. Chaque corps, particule ou astre, a un vent du flux du vide se déplaçant en rotation en conservation du moment cinétique orbital autour de lui.

Calcul de la constante V2 R pour un électron et pour un proton :

 

G

6,67428x10-11

Rayon axial de l'électron = Re = h / (c Me)

3,86372x10-13

Rayon axial du proton     = Rp  =h / (c Mp)

2,10309x10-16

V2   = G M / R

 

Vitesse de rotation du flux du vide de l'électron en surface

Ve = (G Me / Re) 1/2

1,25408x10-14

Vitesse de rotation du flux du vide du proton en surface     

Vp = (G Mp / Rp) 1/2

2,30395x10-11

V2_R_Électron   = Ve2     * Rayon axial de l'électron 

6,07652x10-41

V2_R_Proton      = Vp2   * Rayon axial du proton 

1,11635x10-37